vendredi 2 juillet 2004

Protocoles des fous de Sion

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From: Quibla
Sent: Friday, July 02, 2004 10:37 PM

Subject: Protocoles des fous de Sion

À diffuser largement
Pour connaître les faits et méfaits des sionistes, décrypter leur propagande, comprendre leurs méthodes, un outil indispensable : La rubrique Les protocoles des fous de Sion sur le site http://quibla.net.
Derniers articles parus :02/07/04
€ Theodor Herzl est mort il y a 100 ans et son fantôme erre toujours !
€ Comment éviter quelques pièges antisémitespar Eric Krebbers et Jan Tas, De Fabel van de illegaal N° 52/53, été 2002.
Traduit du néerlandais par Yves Coleman.
Ce texte hallucinant, publié à l'origine par une revue "anarchiste" néerlandaise, circule depuis plus d'un an sur le réseau "altermondialiste" Indymédia. Ces "dix commandements" adressés aux gauchistes européens par les adorateurs de l'État sioniste sont une lecture obligatoire pour tous les militants antisionistes !
€ Audience du 24 juin 2004 au tribunal correctionnel de Paris : Deux poids, deux mesures, ça suffit !par l'Association Générale des Etudiants de Nanterre01/07/04
€ Mohamed Latrèche mis en examen
€ Dieudonné: la cour d'appel de Paris confirme un jugement de relaxe30/06/04
€ Emotion à Anvers après l'agression contre un jeune juif€ Des policiers français formés à la lutte contre l'antisémitisme Pour lire ces articles, aller à : http://quibla.net/protocoles/protocoles66.htm
Dossier : La «lettre à mon ami antisioniste» attribuée à Martin Luther King Junior est un faux grossier !
€ Une fraude à la mesure d'un roi : Israël, le sionisme et la falsification des propos de Martin Luther Kingpar Tim Wise
€ Les apologues d'Israël et le fausses déclarations attribuées à Martin Luther King Jr. par Fadi Kiblawi et Will Youmans, The Electronic Intifada, 19.01.2004 Pour lire ce dossier, aller à http://quibla.net/protocoles/mlking.htm#king
Article à paraître le 3 juillet 2004 :
Les sionistes inventent ³l¹antisémitisme noir² !The Jewish Week est un hebdomadaire juif dont le slogan est : ³Au service de la communauté juive du grand New York². Il vient de publier un article invraisemblable de son envoyé spécial à Paris, considéré désormais par les sionistes comme la capitale mondiale de ³l¹antisémitisme² et où le journaliste avait été invité ... par le ministère français des Affaires étrangères ! On y a apprend la naissance d¹une nouvelle forme d¹²antisémitisme², ³l¹antisémitisme noir². Quibla n¹a pas pu résister à l¹envie de traduire et de faire partager à ses lecteurs ce tissu d¹insanités.
La haine, de tous les côtés - La montée de l'antisémitisme noir en France est venue s'ajouter à l'islamisme enragé, tandis que les juifs se sentent assiégéspar Stewart Ain, The Jewish Week, 2 juillet 2004. Traduit de l¹anglais par MC pour Quibla.Paris - La communauté juive de France, qui fait face à une flambée d'attaques antisémites provenant de la communauté arabe dans ce pays, seretrouve groggy face à un nouveau phénomène : l'antisémitisme noir, expliquele fondateur d'une association de suivi des incidents antisémites en France.Sammy Ghozlan, coordinateur du Bureau de Vigilance contre l'Antisémitisme, afait état de vingt agressions anti-juives perpétrées par des Noirs, au coursdes six mois écoulés.M. Ghozlan relate qu'ainsi, dans la ville de Stains, dans la banlieue nordde Paris, un groupe de Noirs a récemment attaqué un groupe de dix juifstandis qu'ils sortaient d'une synagogue. Et, il y a tout juste quinze jours,un étudiant américain d'une yéshiva a été agressé par deux « Blacks » quiont arrêté sa voiture et l'ont molesté.Il a expliqué qu'il s'agit souvent d'« agressions violentes, avec desmatraques, et que les agresseurs sont souvent plusieurs, agissant engroupe ». « Je suis convaincu que cette tendance est appelée à seprolonger », a-t-il ajouté.M. Ghozlan, un ancien policier de Paris, à la forte carrure, vêtu d'unechemise au col ouvert et une veste de sport, a reçu dans son bureau TheJewish Week, un autre journaliste et deux jeunes volontaires de l'Anti-Defamation League de New-York. Tous étaient les hôtes du ministrefrançais des Affaires étrangères, qui a préparé à leur intention une visited'une semaine à Paris, afin d'y prendre connaissance du degré d'antisémitisme en France.Ses propos étant traduits par un interprète, M. Ghozlan a attribué lesagressions perpétrées par des Noirs au comédien français Dieudonné M'Bala M'Bala. Ce comique, âgé de trente-sept ans, métis de mère française et de pèrecamerounais, avait fait scandale, en décembre dernier, au cours d'uneprestation sur une chaîne télévisée publique, qui fut très largementcondamnée, en raison de son caractère antisémite.Il était entré en scène, vêtu comme un juif religieux, et portant unbattle-dress (tenue militaire). Après quoi il avait fait le salut nazi encriant : « Isra - Heil ! »A une autre occasion, a rappelé M. Ghozlan, Dieudonné avait parlé des juifsen disant qu'ils auraient été responsables de la traite des esclaves.« Alors, vous voyez : si les Noirs sont contre les juifs, c'est à cause dece qu'il (= Dieudonné) dit », a affirmé M. Ghozlan.Emmanuel Waintraub, membre du CRIF - organisation-parapluie juive enFrance - a dit qu'il avait entendu Dieudonné, à la radio, un peu plus tôtdans la semaine : « Il disait notamment que les juifs avaient été desmarchands d'esclaves, au dix-huitième siècle, et que de nos jours, ilsétaient reconvertis dans la banque. »« Voilà le genre de propagande haineuse à laquelle nous sommes confrontés,ici », a expliqué M. Waintraub. « Cela provient de tous les côtés. Les juifsont le sentiment d'être assiégés. »Il a expliqué que certains des Noirs impliqués dans les agressions («antisémites ») étaient des immigrés de relativement fraîche date : desmusulmans venus de pays africains, en particulier du Mali, « qui se sententméprisés et laissés pour compte. C'est toujours la même histoire. »On pense généralement que les Noirs des Indes Occidentales (comprendre : lesAntillais), qui se trouvent en France depuis des générations, ne sont pasconcernés par ce phénomène.Bien que les agressions antisémites perpétrées par des Noirs constituent unphénomène relativement nouveau, en France, elles n'ont en aucun cassupplanté les attaques anti-juives perpétrées par des Arabes, ces attaquesétant généralement interprétées comme ayant un lien avec le conflitisraélo-palestinien. C'est ce dernier phénomène que l'on qualifiegénéralement de « nouvel antisémitisme ».Le mois passé, le ministre (français) de la Justice, Dominique Perben, aindiqué que 180 incidents de nature antisémite avaient été enregistrésdepuis le début de l'année, mais qu'hélas les suspects n'avaient été arrêtésque dans seulement 35 cas. Un rapport du gouvernement français, publié enmai, indiquait qu'avait été constatée une augmentation d'un ordre de 60 % dunombre des incidents antisémites au cours du premier trimestre de cetteannée, en comparaison avec le quatrième trimestre 2003.Yonathan Arfi, 24 ans, président de l'Union des Etudiants Juifs de France(UEJF), qui compte 15 000 adhérents répartis dans 30 sections réparties dansl'ensemble du pays, a dit que, bien qu'il n'ait jamais été confrontépersonnellement à l'antisémitisme, il y a un changement perceptible dans l'atmosphère.« Ma soeur, qui a dix-huit ans, a eu des problèmes. Or, elle fait ses étudesdans le même lycée où j'ai moi-même fait mes études, il y a six ans », aainsi expliqué M. Arfi, qui a relaté que sa sour a vu une swastika gravéesur un bureau et une autre, dessinée sur la main d'un lycéen.« Cela n'était pas particulièrement menaçant, mais c'était là quelque chosequi aurait été impossible, avant », a-t-il poursuivi. « Il y a trois ans,elle était au collège, et son professeur d'histoire lui avait demandé devenir le voir, à la fin d'un cours. Quand elle est allé le voir, ce prof adit à ma soeur : « Ce que vous êtes en train de faire aux Palestiniens, denos jours, ce n'est pas joli-joli. »« Voilà. Nous vivons ce genre de choses-là. Le tabou au sujet de l'antisémitisme et du racisme est tombé ».Patrick Weil, professeur d'université, à Paris, en histoire, et spécialistedes politiques françaises de l'immigration, nous a dit qu'il pense que lameilleure manière de combattre l'antisémitisme, c'est l'éducation. « C'estpourquoi il est très important d'éduquer les enseignants, également »,a-t-il insisté.Il en a appelé à une « approche plus équilibrée, dans les médias ». « A ladifférence des Etats-Unis, où », a dit M. Weil, « les médias sontmajoritairement pro-israéliens, les médias français sont pro-palestiniens ».Claude Imbert, rédacteur en chef de l'hebdomadaire Le Point, s'est dit d'accord sur le fait que « les médias sont partiaux, et favorables auxPalestiniens et à la gauche », ajoutant : « Si les médias étaient moins departi pris, les passions se calmeraient ».M. Weil a évoqué les quelque cinq ou six millions d'Arabes vivant en France: « Ils ont le droit d'être solidaires des Palestiniens. Mais ils n'ont pasle droit d'enfreindre les lois. »« Nous devons plus enseigner l'histoire et plus débattre autour du conflitisraélo-palestinien », a préconisé M. Weil au cours d'une conversation à laterrasse d'un café, poursuivant en ces termes : « et nous devons punir lesgens qui se comportent de manière illégale. Lorsque se produit une agressionnon provoquée, il faut qu'il y ait une réaction très forte, et il faut que l'agresseur soit sanctionné. Je pense que les condamnations ne sont pas assezsévères. »
Des procès controversésLa protestation fut quasi générale, le mois passé, après qu'un tribunalfrançais eut acquitté Dieudonné de l'accusation de diffamation raciale, pourson sketch télévisé du mois de décembre. L'Union des Etudiants Juifs deFrance était parmi les parties civiles.Dans son rendu de décision, la juge Marie-Thérèse Feydau a écrit : « Lepersonnage créé par l'accusé ne représente en rien les gens de confessionjuive dans leur ensemble, mais une certaine catégorie de personnes affichantleurs opinions politiques. »Autre procès controversé : celui où étaient impliqués deux jeunes garçonsarabes d'origine nord-africaine, qui avaient été expulsés de leur lycéeprestigieux de Paris [le Lycée Montaigne, Ndt] après avoir battu et harceléun camarade de classe juif, en le traitant notamment de « sale juif ».« Le jeune lycéen juif a été persécuté deux mois durant », a indiqué RichardSerero, secrétaire général de la Ligue Internationale Contre le Racisme et l'Antisémitisme [Licra].Après le non-lieu, dans ce procès, la Ligue des Droits de l'Homme, qui a étéaccusée d'avoir une position foncièrement pro-palestinienne, a fournigratuitement les services d'un avocat aux deux jeunes Arabes, et elle a menésa propre enquête.La Ligue des Droits de l'Homme a déclaré avoir trouvé des preuves que «plusieurs enfants étaient coupables de violences envers le jeune garçonjuif, et que seuls les deux jeunes Arabes avaient été accusés, pour lasimple raison qu'ils étaient Arabes », a expliqué M. Serero.« Le Tribunal Administratif de Paris a annulé la décision (d'exclusion)prise par le Lycée à l'encontre des deux élèves, et il l'a contraint à lesréintégrer », a poursuivi M. Serero. « Résultat : le jeune juif a dû changerde lycée. »Patrick Gaubert, président de la Licra a dit que le jeune juif suit aujourd'hui des cours dans un lycée juif. Il a précisé que de nombreux enfants juifsallaient dans des écoles juives, pour des raisons de sécurité, même si leursfamilles ne sont pas particulièrement pratiquantes.M. Serero a indiqué que lorsque son association a eu connaissance de cetteaffaire, elle est entrée en contact avec le ministère de l'Educationnationale, lequel n'était manifestement pas au courant. Le ministère aaussitôt fait appel du jugement, qui avait non seulement exigé laréintégration des deux garçons arabes, mais avait ordonné que 1 000 Eurossoient versés à chacune de leurs deux familles.Le père du lycéen juif a été invité, en janvier, comme hôte d'honneur d'unecérémonie de la Licra. Cet homme travaille aujourd'hui au bureau national dela Licra, « et nous continuons à le soutenir dans son combat », a dit M.Gaubert.M. Serero a expliqué que la semaine prochaine, il remettra au ministère de l'Education nationale l'enquête de son centre de recherche sur cet incident,« afin que la cour d'appel dispose d'un dossier irréfutable à partir duquelelle pourra trancher..."« Ce que nous voulons, c'est que la première décision prise par le Lycéesoit confirmés, et que les droits de la victime soient reconnus », a-t-ildit. « Il est inadmissible que les responsables soient présentés comme lesvictimes. Nous voulons vérifier les règlements intérieurs des lycées, afinde faire en sorte que l'autorité des professeurs ne soit pas remise encause. »Il explique qu'afin de traiter le problème des juges complaisants, leministère de la Justice a organisé une « université d'été pour les juges,afin de s'assurer qu'ils sauront tout, tout, tout sur l'antisémitisme et l'antisionisme. Elle ouvrira dans quelques jours. En elle-même, la décisionconsistant à dire que nous allons expliquer aux juges tout, tout, tout sur l'antisémitisme, est fantastique ! »Reçu, cette semaine au Palais de l'Elysée, M. Gaubert a indiqué à unconseiller du Président Jacques Chirac que « la situation, pour les juifs,est intolérable ».Faisant état de sa hantise qu'un juif ne se fasse tuer au cours d'uneagression antisémite, M. Gaubert a indiqué avoir signifié à ce collaborateurde M. Chirac que « la seule personne à même de pouvoir parler suffisammentfort, c'est le Président de la République », et que « le Président devait s'exprimer sur ce sujet, le plus rapidement », « sans attendre que se produiseune manifestation, derrière un cercueil ».« J'espère que nous n'aurons pas à dire les prières du Kaddish [ce sont lesprières juives, pour un mort, Ndt]», a confié M. Gaubert, « avant queJacques Chirac ait décidé d'intervenir, avec force. »