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Otan: Moscou remet les pendules à l'heure concernant la crise en  Syrie
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Cette note a été publiée le 10/02/2016
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Palestine occupée
lundi 28 mars 2016
jeudi 18 décembre 2014
CUBA-USA: Peut être un SERIEUX PAS EN AVANT ? acn Discours du Pr ésident cubain Raul Castro Ruz
CUBA-USA: Peut être un SERIEUX PAS EN AVANT ? acn Discours du Pr ésident cubain Raul Castro Ruz
http://users.skynet.be/roger.romain/Sommario.html
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jeudi 11 décembre 2014
U$A: Ce qu'il se passe à Ferguson ne reste pas à Ferguson
Pendant qu' OBAMA, aidé par son sosie HOLLANDE,   organise une nouvelle croisade en SYRIE et en IRAK, voilà ce qui se passe chez   lui, aux U$A:
Chuuut !
RoRo
Sent: Monday, September 15, 2014 8:19 PM
Subject: Ce qu'il se passe à Ferguson ne reste pas à   Ferguson ...
Pour les Afro-américains, l'état d'urgence a toujours été permanent. Aujourd'hui, avec le néolibéralisme, il se généralise de plus en plus dans le monde entier. La semaine dernière, le gouverneur du Missouri a déclaré l'état d'urgence et a déployé la Garde Nationale à Ferguson, dans la banlieue de Saint Louis, afin de mettre un terme aux agitations qui duraient depuis deux semaines à la suite du meurtre par la police de Michael Brown, un adolescent noir non armé. Depuis les émeutes de Los Angeles en 1992, (...) - Etats-Unis
La   semaine dernière, le gouverneur du Missouri a déclaré l'état d'urgence et a   déployé la Garde Nationale à Ferguson, dans la banlieue de Saint Louis, afin de   mettre un terme aux agitations qui duraient depuis deux semaines à la suite du   meurtre par la police de Michael Brown, un adolescent noir non   armé.
Depuis les émeutes de Los Angeles en 1992, où la police avait passé à   tabac un autre homme de couleur noire, Rodney King, et depuis les manifestations   de Seattle (qui ont eu lieu sept ans plus tard) lors des négociations   commerciales de l'OMC, c'est la première fois que l'armée a été appelée   afin de restaurer l'ordre public à l'intérieur des frontières   américaines.
Cependant, alors que tout le monde est ému par les images montrant la   police antiémeute (organisée de façon militaire) lançant des bombes lacrymogènes   et tirant des balles en caoutchouc sur des manifestants majoritairement   pacifiques, le cirque médiatique qui encadre « l'émeute » risque de jeter le   voile sur une partie importante et obscure de la réalité de tous les jours,   réalité qui se joue secrètement.
Pour   les Afro-américains, la véritable violence raciale se remarque non pas dans   l'extraordinaire mais dans l'ordinaire ; non pas à la une des journaux mais   entre les lignes. Comme l'a si bien souligné Walter Benjamin, au paroxysme de la   persécution dans l'Allemagne nazie, « la tradition des opprimés nous enseigne   que l'"état d'exception" dans lequel nous vivons est la règle.   »
Désormais, il devrait être évident que les émeutes à Ferguson ne sont pas   dues à un vide politique. La militarisation de la police,   l'institutionnalisation du racisme, la criminalisation des pauvres, la   marginalisation systématique des Afro-américains et des autres minorités,   l'intensification grimpante des modèles d'inégalités historiques, la ségrégation   spatiale en raison de la classe sociale ou de la couleur, l'impunité avec   laquelle les forces de l'ordre tuent, blessent et humilient les démunis ; tels   sont les signes d'un ensemble de tendances politiques et économiques, certaines   étant de long terme et historiques, d'autres étant plus   récentes.
Manifestement, donc, ce qu'il se passe à Ferguson ne reste pas à   Ferguson, et l'état d'urgence déclaré par le gouverneur Nixon sert seulement à   mettre l'accent sur une urgence sociale qui ne cesse d'augmenter depuis des   dizaines d'années. Confrontée à un passé long et interminable d'oppression   raciale (qui remonte à l'époque de l'esclavage et de la ségrégation) d'une part,   et, d'autre part, face à un modèle plus récent de militarisation de la police et   de marginalisation économique, la ville de Ferguson doit autant remédier aux   modèles traditionnels de la suprématie blanche et de comportement raciste des   policiers qu'aux conséquences du pouvoir d'Etat et de la déroute du   néolibéralisme.
Un Etat d'Exception Global et Permanent
C'est précisément dans cette convergence de temporalités que l'état   d'urgence révèle sa vraie nature. Walter Benjamin, avant de connaître son destin   tragique en tant que réfugié juif de l'Allemagne nazie, a insisté à plusieurs   reprises sur la centralité du Ausnahmezustand, ou « état d'exception », par   rapport au pays souverain.
Aujourd'hui, le théoricien le plus influent qui s'intéresse à ce concept   est le philosophe italien Giorgio Agamben, qui, à partir de l'adage du penseur   nazi Carl Schmitt : « est souverain celui qui décide de la situation   exceptionnelle », a mis au point une analyse raffinée et une vision dystopique   des multiples manières selon lesquelles l'état d'exception est non seulement une   technique de gouvernement, mais aussi sa propre logique.
«   Face à la progression effrénée de ce qu'on appelle une 'guerre civile mondiale'   », explique G. Agamben, « l'état d'exception a de plus en plus tendance à   représenter le paradigme dominant du gouvernement dans la politique   contemporaine [et] a atteint aujourd'hui un déploiement mondial maximal.   »
De   Fallujah à Ferguson, les ressemblances sont plus profondes et ne se limitent pas   aux uniformes militaires ou à l'artillerie lourde des troupes sur le terrain.   Les deux régions sont régies par un principe d'indistinction entre la loi et le   non-respect de la loi, entre l'ordre et le désordre, un phénomène d'anomie où   l'être humain est principalement à la merci des militaires et des policiers qui   représentent le pouvoir souverain et s'y conforment dans leurs   actes.
Dans   cet état d'exception permanent et mondialisé, la traditionnelle distinction   entre le public et le privé devient ici de plus en plus floue. À Fallujah, les   fournisseurs privés avaient été appelés afin de maintenir l'ordre public, tandis   que l'armée américaine, au détriment de la dette publique, veillait à protéger   les intérêts privés 24 heures sur 24.
À   Ferguson, la propriété privée est protégée du pillage alors que les habitants se   font tirer dessus même lorsqu'ils se trouvent sur leur porche   privé.
Les   États-Unis dépensent l'argent public en menant des guerres à l'étranger à des   fins privés, et, dans le même temps, ils permettent que les intérêts privés   financent directement les services de police locaux, qui disposent aujourd'hui   des armes excédentaires provenant de ces mêmes guerres, afin de maintenir   l'ordre public national. La sécurité devient la préoccupation première du   gouvernement, bien que celui-ci cède presque toujours aux intérêts privés en   faisant fi de la sécurité sociale.
Entre Démocratie et Absolutisme
L'un   des points-clés de la position du gouvernement néolibéral est le suivant : le   gouvernement veut à tout prix combiner des mesures politiques marquées par un   libéralisme absolu dans des marchés mondiaux avec un paradigme de plus en plus   autoritaire au sein du gouvernement national. Même lorsque le capital circule   librement à travers les frontières, des vagues d'immigrants et de réfugiés sont   soit interceptés et renvoyés, soit bloqués et mis en   détention.
Même   lorsque les barrières du commerce international sont écartées par un fanatisme   religieux qui nous fait rappeler l'époque des croisières, de nouveaux murs sont   érigés, partout, afin de garder à l'écart les personnes de couleur et les   démunis.
Même   lorsque les « visionnaires » libéraux insistent pour que soit possible une   intégration universelle, la réalité mondiale est que les gens sont exclus de   manière systématique.
Là   où la richesse se concentre entre un nombre toujours plus restreint de   personnes, où la population est reléguée dans certains quartiers ou vit dans la   misère des bidonvilles, la « démocratie » tant vantée du marché mondial rejoint   les ambitions totalitaires de l'État Nation. « L'état d'exception », explique G.   Agamben, « apparaît comme le seuil d'indétermination entre la démocratie et   l'absolutisme. »
Au   vu de cette indétermination croissante entre la démocratie et l'absolutisme, la   guerre et la paix, l'ordre et le désordre, il n'est pas si surprenant que les   événements de Ferguson se fassent entendre dans une zone de guerre lointaine et   occupée comme Gaza, où l'absolutisme de la souveraineté israélienne est   impitoyablement ramené à de simples considérations, au point où Israël a même   fixé un nombre limite de calories par jour pour les 1,6 millions d'habitants :   2,279 calories par jour, pour être précis.
Bien   entendu, Ferguson n'est pas Gaza (du moins pas encore), mais il existe un lien   indéniable entre les deux luttes, et il ne se limite pas aux tweets de   solidarité envoyés par les Palestiniens aux manifestants de Ferguson ou aux   suggestions sur la manière de faire face aux bombes lacrymogènes et aux   policiers hautement armés.
Il   s'agit de bien plus que cela. La solidarité entre les Palestiniens et les   Afro-américains montre explicitement qu'ils ont en commun la lutte mais aussi   l'ennemi. De la marque des bombes lacrymogènes aux attaques tactiques des   troupes antiémeutes, Gaza et Ferguson sont plus similaires que ce que beaucoup   ont du mal à admettre.
Des   enquêtes ont révélé que les autorités américaines entretiennent des rapports   étroits avec les autorités israéliennes. Par ailleurs, parmi les quatre corps de   policiers déployés à Ferguson, deux ont suivi une formation (pour contrôler la   foule) en Israël. Être à la tête de l'occupation de Gaza est une affaire très   sérieuse, et les services de police américains ont beaucoup à apprendre des   services israéliens s'ils veulent maintenir un espace interne de ségrégation, à   une époque où les inégalités et les tensions raciales croissantes sont de plus   en plus profondes.
Le Ghetto, un camp prisonnier à ciel ouvert
Selon G. Agamben, l'état d'exception peut clairement être comparé à un   camp, qui « délimite un espace où l'ordre est de facto interrompu et où le fait   de commettre ou non des atrocités dépend non pas de la loi mais du caractère   civilisé et éthique de la police qui agit provisoirement en tant que souverain.   » Pour ceux qui se trouvent du mauvais côté de la guerre contre le terrorisme,   les camps se nomment Abu Ghraib ou Guantanamo Bay.
Pour   les Afro-américains, le camp, c'est la prison, ou, de plus en plus souvent, le   camp de travail. Si le taux d'incarcération actuel continue sur la même   tendance, on peut s'attendre à ce qu'un Afro-américain sur trois né aujourd'hui   passe au moins une période de sa vie derrière les barreaux. Alors que seulement   12 % de la population américaine est de couleur noire, les Afro-américains   représentent 40 % du chiffre total de prisonniers, qui est de 2,1 millions. Le   nombre de Noirs en prison aujourd'hui est supérieur au nombre d'esclaves noirs   avant la Guerre civile en 1850.
Cependant, étant donné que l'état d'exception se généralise, les   frontières entre l'intérieur et l'extérieur commencent à se confondre et chacune   se mêle graduellement l'une dans l'autre. Petit à petit, la logique du camp se   propage dans la société en général. Gaza, également considérée par le Premier   ministre britannique David Cameron comme un camp de prisonniers à ciel ouvert,   est peut-être l'exemple contemporain le plus frappant de ce phénomène.   Cependant, des procédés similaires (mais moins extrêmes) sont mis en place aux   États-Unis et ailleurs, étant donné que la ségrégation spatiale est la   caractéristique de la géographie urbaine néolibérale.
Aujourd'hui, les ghettos de Detroit et les voisinages situés aux   périphéries de Saint Louis, comme les townships de Johannesburg et les favelas   de Rio de Janeiro, prennent de plus en plus la forme de camps de prisonniers à   ciel ouvert, où la police agit de manière continue en tant que souverain   temporaire, et où les Noirs qui sont pauvres – en particulier les jeunes   adolescents – sont seulement considérés comme des jouets offerts aux caprices   racistes des officiers blancs.Modèles de   
Ségrégation Néolibérale
La   nature contemporaine du ghetto et du bidonville, considérés comme des camps de   prisonniers à ciel ouvert, est étroitement liée aux modèles d'inégalité raciale   et de ségrégation spatiale qui s'aggravent de plus en plus. Loin d'être abolie,   la ségrégation, tant culturelle que matérielle, ne fait que s'aggraver en raison   de la restructuration néolibérale de l'économie. Vraisemblablement, l'État du   Missouri, la ville de Saint Louis et particulièrement la banlieue de Ferguson   sont parmi les exemples typiques de ces modèles d'apartheid néolibéral aux   États-Unis aujourd'hui. En 1970, les Noirs représentaient seulement 1 % de la   population à Ferguson. En 2010, le chiffre avait atteint 70 %. La transformation   raciale de la ville est due, premièrement, à l'exode de la population blanche,   en raison de l'affaiblissement de la classe ouvrière suite à la   désindustrialisation qui a poussé les travailleurs blancs à quitter la «   Rustbelt »1 ; deuxièmement, à l'arrivée des crédits à bon marché qui a attiré   une classe moyenne blanche pouvant se déplacer facilement vers les   faubourgs.
Le   prix du logement ayant baissé, les résidents noirs ont emménagé dans le   quartier, et les inégalités locales préétablies (entre maisons à louer et les   maisons de propriétaires, par exemple) n'ont fait que s'accentuer. Dans le même   temps, la base imposable du gouvernement local a également baissé, ce qui s'est   traduit par une réduction du budget destiné au financement des services publics   et des autorités.
Bien   entendu, le service de police de Ferguson reste exclusivement composé de   policiers blancs, ce qui affecte évidemment les nouveaux habitants noirs dans le   quartier : selon les chiffres du FBI, 92 % des personnes arrêtées à Ferguson,   accusées d'avoir causé des « troubles publics », sont de couleur noire ; par   ailleurs, dans 86 % des cas, ce sont les Afro-américains qui sont arrêtés sur la   route. Loin de protéger la paix, des officiers de police non formés et surarmés   estiment que leur rôle est de contrôler systématiquement une population   marginalisée à travers des agressions et des accusations de crimes mineurs. Ce   sont donc des mécanismes de contrôle social.
Dans   l'Amérique néolibérale, les questions de race et de classe sont devenues presque   indissociables, et c'est à leur intersection que la contre-révolution   néolibérale affecte le plus sévèrement les familles afro-américaines. Des   rapports économiques montrent que la différence dans le revenu du ménage entre   les Noirs et les Blancs n'a pas diminué depuis la fin de jure de la ségrégation   dans les années 50 et 60.
Cependant, la disparité des richesses n'a fait que s'accentuer avec la   crise de l'immobilier de 2007-2008 et la récession qui en a résulté, récession   qui a particulièrement aggravé la situation des ménages afro-américains   (essentiellement à la suite du profilage raciale à Wall Street, réputé pour ses   pratiques de prêts à conditions abusives). Aujourd'hui, 45 % des enfants noirs   grandissent dans des zones à forte concentration de pauvreté, et les écoles où   ils vont sont plus ségréguées qu'elles ne l'étaient en 1980. Comme les   disparités entre classes s'accentuent, les inégalités raciales, étroitement   liées, s'accentuent elles aussi.
Le Pouvoir Destituant d'une Emeute Politique
Pour   les Afro-américains, donc, l'état d'urgence a toujours été un état permanent, il   n'a pas commencé avec le meurtre de Michael Brown et il ne se terminera   certainement pas avec le retrait de la Garde Nationale de Ferguson par le   gouverneur Nixon. Cette fois, la différence réside dans le fait que les gens se   sont révoltés contre le meurtre, à une nouvelle reprise, d'un autre jeune   adolescent noir par la police, et ils ont choisi de répondre à la violence   légitime de la répression policière qui s'en est suivie par un violence « extra   » légitime dont ils se sont permis l'usage. Subitement, leurs actions   quotidiennes et banales en signe de résistance se sont unies et converties en   une action collective en signe de refus, ce qui a donné lieu à une révolte   politique. Et c'est précisément cette combinaison entre manifestations   pacifiques en général et refus de respecter la violence de la loi qui a inspiré   la crainte de ceux qui sont au pouvoir.
Tout   d'abord, l'une des raisons pour lesquelles les autorités redoutent les   événements de Ferguson est le risque de « contamination » (ou ce qu'on pourrait   appeler résonance). Comme le montrent les émeutes lors de l'affaire Rodney King   de 1992, une simple étincelle peut rapidement mettre le feu aux prairies   desséchées de la constellation urbaine supposément post-raciale des   États-Unis.
Toutefois, il existe une autre raison plus importante : la puissance   souveraine, qui se trouve en même temps au dedans et en dehors du cadre légal et   qui peut à la fois décider de faire respecter la loi ou de la suspendre, ne peut   tolérer l'existence d'une forme de violence totalement en dehors de la   loi.
Comme l'a remarqué Walter Benjamin dans Critique de la violence, «   l'existence de la violence en dehors de la loi, considérée comme de la violence   purement immédiate, nous fournit la preuve que la violence révolutionnaire,   c'est-à-dire la plus haute manifestation de violence par l'homme, est   envisageable. » Par conséquent, la crainte porte sur cette révolte locale, qui   pourrait révéler une révolution latente dans le ventre de la   bête.
Mais   même lorsque cette potentielle révolution n'aboutit pas, le résultat semble   prendre la forme de ce que G.Agamben appelle le pouvoir destituant, un pouvoir   qui se trouve totalement en dehors de la loi et qui, en agissant de manière à   anéantir la puissance souveraine plutôt que de la réformer, dispose de plusieurs   atouts : il est capable de diminuer le recours à la violence par l'État et, au   bout du compte, d'abolir le cycle violence autorisée/interdite par la loi.   Walter Benjamin a écrit, plein d'espoir, « lors de la suspension de la loi par   toutes les forces sur lesquelles elle repose de la même manière que celles-ci   dépendent de la loi, l'abolition du pouvoir d'État marque dès lors une nouvelle   époque historique. »
Si   nous nous basons sur cette analyse, la prétendue « violence » des manifestations   de Ferguson, qui fait pâle figure à côté de la violence du capital financier et   de celle de l'État, peut se révéler hautement productive. Et tandis que l'idée   d'une violence « pure » en dehors de la loi peut paraître menaçante pour   certains, il ne faut pas oublier que l'émeute urbaine, malgré les destructions   sans raisons apparentes et l'évanescence spectaculaire, a été dans le passé un   grand moyen vers le progrès.
Ce   que nous appelons aujourd'hui la démocratie n'existerait pas sans ces émeutes.   En effet, en période de grande injustice et d'impasse institutionnelle, lorsque   la violence de la loi étouffe la voix des opprimés, le pouvoir destituant d'une   révolte politique est le moyen le plus pertinent afin de rééquilibrer la balance   de la justice. Du moins, c'est comme ça que ça commence. Ce qui se passe à   Ferguson ne reste pas à Ferguson.
Jerome Roos est doctorant chercheur en Économie politique internationale   à l'Institut universitaire européen, ainsi que fondateur et éditeur de Roar   Magazine.
Cet   article a été rédigé dans le cadre de sa rubrique hebdomadaire pour TeleSur   English.
Traduit de l'anglais par Muhammet Asa pour   Investig'Action
Source : Investig'Action
Quand la BELGIQUE part en guerre, aux côtés d' Obama et de Hollande: si c' est bien vrai, il est déjà temps de faire revenir les F16 ...
c/s/20/21
Si c' est   bien vrai, voilà qui devrait réveiller l' opinion européenne et même mondiale,   les défenseurs de la Paix, les syndicalistes, contre   la
guerre et les   fauteurs de guerre ricano-otano-occidentaux ... Une info effectivement explosive   ... !
Quels sont les pays de l'UE qui   achètent du pétrole à l'état islamlique en Irak et en   Syrie?25 Septembre 2014 , Rédigé par Le Mantois et Partout   ailleurs Publié dans #politique
Voilà une question que pose José Fort dans son   blog. En effet, les fascistes islamiques se sont arrogés, outre tout   l'armement de l'armée irakienne en débandade, les coffres-forts regorgeant de   dollars de la banque de Mossoul, mais aussi les puits de pétrole d'Irak ou de   Syrie. Pétrole qu'ils vendent au marché noir pour faire vivre leur   machine à tuer.
Des pays de l'Union européenne achètent du   pétrel aux barbaresLes barbares qui sèment la terreur en   Irak et en Syrie sous le sigle EIIL ne sont pas si barbares que cela pour   plusieurs pays membres de l'Union européenne. Les bandes EIIL sont   riches à milliards de dollars fruit des pillages, notamment la réserve   irakienne, de financements « privés » en provenance des monarchies régionales   et… de la vente à bas prix de pétrole.
L'ambassadrice de l'Union européenne en Irak, Mme Jana Hyboskova,   a déclaré devant une commission que « plusieurs membres de l'UE ont acheté du   pétrole non-raffiné à l'EIIL.» Elle a refusé de nommer les noms des pays   incriminés. Depuis, le silence total est observé sur ce scandale à   Bruxelles et dans toutes les capitales européennes, notamment à   Paris.
On   ne peut à la fois vouloir combattre la barbarie et financer les monstres. Voilà   pourquoi, alors que la France s'engage dans un conflit aux prolongements longs   et dangereux, la clarté doit être faite et une réponse nette et rapide doit être   exigée à la Commission de Bruxelles : qui sont les pays membres de l'Union   européenne acheteurs du pétrole à l'EIIL?
José Fort
Le   blog de José Fort
Note de ma pomme: Le billet de José Fort concernant les déclarations de Jana Hybaskova m'a incité à des recherches. Effectivement, l'UE capitaliste possède un ambassadeur en Irak depuis 2011. Ex-députée européenne tchèque de droite, la gente dame y a été nommée en 2011. Pas pour rétablir la démocratie dans ce pays devenu un gigantesque chaos, ça se serait su, mais comme représentante de la concurrence libre et non faussée, le business quoi, politique chère à l'Union européenne dirigée par la droite et les socialistes.
Concernant la production de pétrole contrôlée par les islamistes,   ce sont 30 000 barils par jour pour l'Irak et 50 000 barils pour la Syrie   refourgués effectivement au marché noir à raison de 40 dollars le baril. Ce qui   représente une rente journalière de 3,2 millions de dollars. Outre le fait que   les fascistes islamistes commercent en dollars, la monnaie des infidèles mais   les voies de Dieu sont aussi impénétrables en Orient, il faut bien que des   États, ou des margoulins mandatés par des pays tout ce qu'il y a de bien, les   achètent ces barils. Parce que d'Irak ou de Syrie, les dits barils sont   acheminés tout à côté, par camions, vers le terminal pétrolier de Ceyhan lui sis   en Turquie, pour des tankers qui vont ensuite voguer sur les flots libres et non   faussés.
On   notera au passage que la Turquie est la 2e puissance puissance militaire   de l'OTAN et que les USA ont des bases dans ce pays ami. Avec tous le réseau   d'espionnage qui va avec et donc qui sait beaucoup de choses sur la   question.
Bref, notre très douée ambassadrice de l'UE en Irak est venue le 2   septembre 2014 devant la commission des affaires étrangères du Parlement   européen. Même que le thème développé était "échange de vues sur les crises dans   le grand voisinage de l'Union" sic. Et donc on a causé des barils achetés (chut)   par des pays de l'UE. Sûrement à l'insu de leur plein gré.
D'où le dessin qui risque de faire bondir dans les chaumières.   Pour autant, le capitalisme, lui, n'a aucune compassion à l'égard de quiconque   pour faire du profit:
Quels sont les pays de l'UE qui achètent du   pétrole à l'état islamique en Irak et en Syrie?Partager cet   article
Un nombre record de migrants, 3.072, sont morts en Méditerranée en 2014... Où sont réellement les barbares ?
Pour aider tous ces malheureux qui fuient leur pays et la misère pour trouver du travail, de quoi manger, l' Occident capitaliste –les ricano-otano-occidentaux et européistes- ne part pas en croisade, en guerre, ne mobilise pas, tous ses moyens financiers, économiques et militaires, ne crie pas à la "barbarie" et au "terrorisme" des autres...
Obama, Hollande, Fabius, Valls,   Di Rupo et consorts, où sont réellement les barbares ? Tous ces gens, les 2.000   victimes de la barbarie sioniste à Gaza, des guerres anglo-franco-ricaine, en   Irak, en Afganistan, en Libye et ailleurs, ne valent-elles pas les chrétiens d'   Orient, les Juifs sionistes, les queques ricano-occidentaux décapités   (odieusement, bien sûr !).
Personnellement, je rappelle   et/ou précise aussi aux journaleux de service qu' il n'y a pas que des réfugiés   syriens qui ont et/ou périssent en Méditerranée ... Il n' y a pas que le   "pouvoir" syrien qui peut être mis en cause ...
RoRo
Un nombre record de migrants, 3.072, sont morts en Méditerranée en 2014...
Plus de 3.000   migrants ont péri en Méditerranée depuis janvier 2014, soit plus du   double que lors du pic de 2011, année du Printemps arabe, a déploré lundi   l'Organisation internationale pour les migrations.Depuis 20 ans, traverser la   Méditerranée constitue le périple le plus mortel pour les migrants irréguliers.   Depuis le début de l'année, l'OIM a enregistré la mort de 4.077 migrants   irréguliers dans le monde, dont les trois quarts -- 3.072 -- en   Méditerranée.
Depuis l'an 2000, plus de 22.000 migrants ont perdu leur vie en   Méditerranée.
Pour la Méditerranée, "2014 est l'année la plus meurtrière",   loin devant le pic de 2011, lorsque 1.500 décès avaient été enregistrés (en   prenant les neuf premiers mois de l'année).
La majorité des migrants qui sont   décédés aux portes de l'Europe -- par noyade, asphyxie, faim ou froid -- étaient   originaires d'Afrique et du Moyen-Orient, selon les statistiques publiées par   l'OIM.
Au total, au moins 40.000 migrants sont décédés dans le monde depuis   l'an 2000 en tentant d'entrer en Europe, aux Etats-Unis, en Australie ou dans   d'autres pays.
"Depuis un an, l'augmentation du nombre de morts s'explique   surtout par la progression des morts en Méditerranée", explique l'OIM, qui   reconnaît ne pas comprendre très bien cette tendance.
Cela "reflète   probablement une augmentation spectaculaire du nombre de migrants qui tentent de   rejoindre l'Europe. Plus de 112.000 migrants en situation irrégulière ont été   détectés par les autorités italiennes au cours des huit premiers mois de 2014,   près de trois fois plus que dans l'ensemble de l'année 2013", considère   l'OIM. 
Les plus nombreux à   être arrivés en Italie cette année sont les Syriens, dont le pays est ravagé par   une guerre civile depuis plus de trois ans et demi, et les Erythréens, qui   fuient leur pays pour échapper à la répression brutale du pouvoir (?), au   service militaire à vie, et au travail forcé, non rémunéré et à durée illimitée   (????) .
(29-09-2014 - les agences de presse   occidentales)
BELGIQUE: Peter Mertens : « Octroyer le titre d’entreprise de l’année à Katoen Natie est un mauvais signal »
From: Quentin Vanbaelen
Sent: Thursday, October 16, 2014 4:11 PM
Subject: Peter Mertens : « Octroyer le titre   d'entreprise de l'année à Katoen Natie est un mauvais signal   »
16 Octobre 2014
Le 14 octobre, l'entreprise Katoen Natie a reçu des mains du   roi le titre « d'entreprise de l'année ». Pour le PTB, c'est une très   mauvaise idée de couronner une entreprise qui, entre autres choses,   pratique activement le dumping social.
Le président du PTB, Peter Mertens, également membre du conseil d'administration du Port d'Anvers en sa qualité de conseiller communal de la ville, parle d'un mauvais signal, pour deux raisons. « La première, explique-t-il, c'est qu'une des filiales de Katoen Natie pratique le dumping social. Les travailleurs(-euses) sont sous-payés et les conditions de travail sont mauvaises. La seconde, c'est que tout le monde sait que Fernand Huts, le grand patron, parcourt le continent pour faire pression en faveur du démantèlement de la protection sociale, et plus spécifiquement pour l'abolition de la loi Major. Par conséquent, il ne nous paraît pas opportun d'élire Katoen Natie "Entreprise de l'année". »
« Il faut dire que Katoen Natie fait preuve d'une grande créativité en matière de gestion du personnel, poursuit le président du PTB. Depuis le début de la crise, elle va chercher des jeunes chômeurs du sud de l'Europe pour travailler dans le port d'Anvers ; ils sont logés par Katoen Natie/Logisport dans des bungalows de vacances. Ils sont ainsi pieds et poings liés face à leur employeur, dont ils dépendent pour tout. Le jour où ces personnes demanderont à ne pas travailler le week-end, ils recevront leur C4, accompagné d'un billet retour pour l'Espagne. Cet été, j'ai discuté avec plusieurs jeunes Espagnols qui devaient travailler chez Logisport dans ces conditions. C'est scandaleux. »
Le président du PTB, Peter Mertens, également membre du conseil d'administration du Port d'Anvers en sa qualité de conseiller communal de la ville, parle d'un mauvais signal, pour deux raisons. « La première, explique-t-il, c'est qu'une des filiales de Katoen Natie pratique le dumping social. Les travailleurs(-euses) sont sous-payés et les conditions de travail sont mauvaises. La seconde, c'est que tout le monde sait que Fernand Huts, le grand patron, parcourt le continent pour faire pression en faveur du démantèlement de la protection sociale, et plus spécifiquement pour l'abolition de la loi Major. Par conséquent, il ne nous paraît pas opportun d'élire Katoen Natie "Entreprise de l'année". »
Salaires et conditions de travail problématiques
« Chez Katoen Natie, on travaille dur, très dur même, comme dans toutes les autres entreprises portuaires. Mais ce sont les salaires et les conditions de travail qui posent problème, précise Peter Mertens. Il y a quelque temps, l'inspection sociale a constaté que la filiale de Katoen Natie, Logisport, pratiquait le dumping social. Autrement dit, les travailleurs des entrepôts portuaires de cette filiale n'étaient pas employés conformément aux barèmes légaux, conditions de travail et CCT en vigueur. Aujourd'hui, nous continuons à entendre des témoignages de personnes qui travaillent chez Logisport à propos de leurs conditions de salaire et de travail ».« Des chiffres qui ne peuvent servir d'exemple pour les autres »
Dans son communiqué, le jury de « l'Entreprise de l'année » fait l'éloge de la politique de motivation du personnel pratiquée par Katoen Natie. Peter Mertens réagit : « Pour la majorité des travailleurs de Katoen Natie, ce qui les pousse à faire des heures supplémentaires non rémunérées, à travailler le week-end sans recevoir d'indemnité, à accepter les doubles pauses et un rythme de travail élevé, c'est principalement la crainte de perdre leur emploi. Si les travailleurs ont donné à l'entreprise le surnom de "Schorpioen Natie" ("nation scorpion", NdlR), ce n'est pas par hasard. Chez Logisport, par exemple, plus de la moitié des heures sont prestées par des intérimaires. Et, pour ce qui est du personnel fixe, on observe une diminution annuelle de l'ordre de un sur cinq. Ce ne sont décidément pas des chiffres qui peuvent servir d'exemple pour les autres. »« Il faut dire que Katoen Natie fait preuve d'une grande créativité en matière de gestion du personnel, poursuit le président du PTB. Depuis le début de la crise, elle va chercher des jeunes chômeurs du sud de l'Europe pour travailler dans le port d'Anvers ; ils sont logés par Katoen Natie/Logisport dans des bungalows de vacances. Ils sont ainsi pieds et poings liés face à leur employeur, dont ils dépendent pour tout. Le jour où ces personnes demanderont à ne pas travailler le week-end, ils recevront leur C4, accompagné d'un billet retour pour l'Espagne. Cet été, j'ai discuté avec plusieurs jeunes Espagnols qui devaient travailler chez Logisport dans ces conditions. C'est scandaleux. »
« Seule la plus-value compte, le reste c'est de la foutaise »
L'an dernier, Katoen Natie a publié sa « Company Bible ». On y explique avec finesse que « tout ce qui compte, c'est la plus-value, le reste c'est de la foutaise ». Il n'est dès lors guère étonnant que Katoen Natie déteste la concertation sociale. Ces dernières années, cela a d'ailleurs débouché sur de violents conflits avec les syndicats portuaires. « Fernand Huts suit la philosophie néolibérale pure et dure d'Ayn Rand (théoricienne de l'ultra-capitalisme individualiste, NdlR). Rien n'arrêtera ceux qui sont nés pour être des dirigeants : protection sociale, pouvoir ouvrier ou pouvoir syndical, ce sont tous des obstacles à l'accroissement des profits, explique Peter Mertens. Ce genre de philosophie n'est pas non plus un exemple pour les autres en ces temps de crise ».« Katoen Natie, un acteur politique, militant pour le dumping social »
Enfin, le PTB se pose également des questions sur la nature du signal politique que l'on veut donner en octroyant ce prix à Katoen Natie et Fernand Huts. « Katoen Natie est un véritable acteur politique. Ses dirigeants sont des lobbyistes très actifs qui préconisent la totale libéralisation du travail portuaire et une restriction de la législation relative à la protection sociale. Ce n'est donc pas un hasard si Katoen Natie fait partie des entreprises qui ont introduit une plainte contre les normes belges organisant le travail portuaire, ce qui a donné lieu à une procédure d'infraction européenne. Huts et Katoen Natie ne cachent pas leur intention d'en finir avec la loi Major et les contrôles stricts exercés par les syndicats. Le statut du travail portuaire actuel fait office de digue contre le dumping social. Non seulement pour les ports, mais aussi pour l'ensemble de la société. Si cette digue cède, le port risque de se retrouver inondé d'emplois indécents mal payés avec des conditions de travail encore plus précaires et hyperflexibles. Et cette rupture de digue risque également de se faire sentir dans tous les autres secteurs. Nous trouvons tout simplement insensé de récompenser ce genre de corsaire », conclut Peter Mertens.
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Katoen Natiedimanche 6 juillet 2014
mercredi 2 juillet 2014
Génocide en Syrie et manipulations médiatiques
From: Kimyongur Bahar 
Sent: Thursday, June 13, 2013 10:13 AM
Génocide en Syrie et manipulations   médiatiques
Bahar Kimyongur
Animés par leurs pulsions bestiales et obsédés par leur foi morbide, les   mercenaires du Front al Nosra ont cette fois attaqué le village isolé de Hatlah   près de Dair Az Zor dans l'Est de la Syrie au seul motif qu'il est   peuplé de musulmans chiites.
Ce mercredi 12 juin, ils y ont massacré une soixantaine de villageois,   jeunes, adultes et vieillards.
Les médias occidentaux ont présenté les tueries de Hatlah comme un   "affrontement avec des rebelles".
Or, les villageois ont été massacrés chez eux. Les femmes et les filles ont   été prises comme butin de guerre. Leurs maisons ont été incendiées.
La vidéo ci-dessous ne laisse aucun doute sur les motivations des barbares   qui ont rayé Hatlah de la carte:
"Montrez-moi les corps de ces chiens chiites" demande le cameraman aux   tueurs qu'il filme avec leurs trophées. 
Les médias occidentaux s'acharnent à présenter la guerre de Syrie   comme un conflit entre chiites et sunnites. Cette lecture est   totalement fausse.
Car seule la rébellion propage le sectarisme et pratique l'épuration   ethnique. 
Elle est la seule force dans le conflit syrien qui cultive l'hostilité et   la haine envers les autres religions, qui appelle au ralliement d'une confession   contre toutes les autres autres et qui est religieusement homogène. 
A l'inverse, l'armée arabe syrienne est composée de toutes les communautés   du pays dont près de 80% de sunnites, alignant ainsi des centaines de milliers   de soldats et de miliciens de toute confession.
La rébellion syrienne est une vaste escroquerie maquillée en   "mouvement révolutionnaire" par les ennemis de la Syrie tels que la   France, l'Angleterre, le Qatar, l'Arabie saoudite, la Turquie, les USA et Israël   et par tous les agents provocateurs de guerre et autres idiots utiles soi-disant   humanistes qui peuplent les grands médias, les universités et certaines   ONG.
S'il y a du confessionnalisme en Syrie, il est à rechercher dans les rangs   de la rébellion.
Il constitue le fond de commerce de ceux qui n'ont rien d'autre à   offrir à la Syrie que l'ignorance, la soumission et l'esclavage.
L'Insurrection du Ghetto de Varsovie (suite 66)
66
"L'   Insurrection du Ghetto de Varsovie" :  Voir (écrit en   1955)
Je publie progressivement ces lignes   pour tenter de lever un peu le brouillard entretenu par les services occidentaux   de propagande anti - soviétique et anti-communiste, à propos de la date   anniversaire du 1er août 1944 ...  C'est une autre   vérité...
Une première constatation : on s' aperçoit déjà qu'il y eut, comme chez tous les autres peuples, 2 camps chez les Juifs , 2 sortes de Juifs, 2 peuples, 2 clans, celui des oppressés et celui des oppresseurs, celui des patriotes et celui des Kollabos, celui qui crevait, qui luttait, qui résistait, qui périssait et celui qui profitait de la situation, de l'occupation, ...
Une première constatation : on s' aperçoit déjà qu'il y eut, comme chez tous les autres peuples, 2 camps chez les Juifs , 2 sortes de Juifs, 2 peuples, 2 clans, celui des oppressés et celui des oppresseurs, celui des patriotes et celui des Kollabos, celui qui crevait, qui luttait, qui résistait, qui périssait et celui qui profitait de la situation, de l'occupation, ...
Ce texte met aussi en lumière le rôle des forces communistes et progressistes dans la préparation et l' organisation de la résistance au sein du Ghetto, ce qui devait finalement aboutir à l' insurrection que l' on connaît.
RoRo
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Aux ordre de Washington ... :
c
Aux ordre de Washington, des maîtres ricains, et c'   est pas nouveau ... :
Ingérence:   " Les Etats-Unis ont redit lundi leur hostilité à la vente par la France à la Russie de deux navires militaires de   type Mistral, le chef de la diplomatie française Laurent   Fabius devant être reçu mardi par son homologue américain John   Kerry"http://www.leparisien.fr/international/washington-presse-la-france-de-renoncer-a-vendre-ses-navires-mistral-a-la-russie-12-05-2014-3835317.php
   
De quel droit...
Comment appelle-t-on cela: Immixtion dans les affaires d'un Etat (qui fut souverain)?
Rappel à l'ordre de la première puissance militaire à un vassal?
Bref, en fait, M. Kerry -qui fut en son temps pacifiste- a convoqué M. Fabius...
" Le président français François Hollande avait indiqué samedi que ce contrat était maintenu «pour l'instant»."
Il s'agit du président de cette France décadente, où les joyaux, d'autant plus stratégiques sont vendus au plus offrant.
On pourrait dire "corps et biens" car nos dirigeants cèdent également le capital humain... C'est un tout!
jmb
De quel droit...
Comment appelle-t-on cela: Immixtion dans les affaires d'un Etat (qui fut souverain)?
Rappel à l'ordre de la première puissance militaire à un vassal?
Bref, en fait, M. Kerry -qui fut en son temps pacifiste- a convoqué M. Fabius...
" Le président français François Hollande avait indiqué samedi que ce contrat était maintenu «pour l'instant»."
Il s'agit du président de cette France décadente, où les joyaux, d'autant plus stratégiques sont vendus au plus offrant.
On pourrait dire "corps et biens" car nos dirigeants cèdent également le capital humain... C'est un tout!
jmb
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Bonjour,
Veuillez trouver ci-dessous les dernières publications du blog Solidarité avec le peuple palestinien ! (http://lapalestinevaincra.skynetblogs.be/).
[Diariodeurgencia] URGENTE: EL ESTADO SIONISTA DE ISRAEL AMENAZACON ATAQUES MASIVOS Y PROLONGADOS HASTA HACER DESAPARECER A HAMAS,LUEGO DE APARECER LOS CUERPOS DE LOS JOVENES SECUESTRADOS / SE HANPRODUCIDO BOMBARDEOS EN GAZA // IRAQ: El EIIS INSTAURACA
lpv From: Resumen Latinoamericano Sent: Monday, June 30, 2014 10:52 PM Subject: [Diariodeurgencia] URGENTE: EL ESTADO SIONISTA DE ISRAEL AMENAZACON ATAQUES MASIVOS Y PROLONGADOS HASTA HACER DESAPARECER A HAMAS,LUEGO DE APARECER LOS CUERPOS DE LOS JOVENES SECUESTRADOS / SE HANPRODUCIDO BOMBARDEOS EN GAZA // IRAQ: El EIIS INSTAURACALIFATO EN...
Cette note a été publiée le 02/07/2014
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vendredi 17 janvier 2014
Les oubliés de la Shoa : merci à l' auteur de ce magnifique texte de rappel historique ! RoRo
Le savoir et le   transmettre! Les persécutions des Noirs, de 1933 à 1945, en   Allemagne nazie et dans les territoires occupés par celle-ci, se manifestèrent   par l'isolement, la stérilisation, les expériences   médicales, l'incarcération, les brutalités et les meurtres. Toutefois, les Noirs   ne firent pas l'objet d'un programme d'extermination systématique comme ce fut   le cas pour les Juifs et d'autres groupes de population. Après la Première   Guerre mondiale, les forces de l'Entente privèrent l'Allemagne de ses   possessions coloniales. Les soldats allemands qui s'y trouvaient   (Schutztruppen), ainsi que les missionnaires, les bureaucrates et les colons   allemands rentrèrent au pays et y rapportèrent leur racisme. La séparation entre   Blancs et Noirs fut ordonnée par le Reichstag (Parlement allemand), qui édicta   une loi contre les mariages mixtes dans les colonies africaines. Suite à la   Première Guerre mondiale et au Traité de Versailles (1919), les forces   victorieuses occupèrent la Rhénanie, dans l'ouest de l'Allemagne. L'utilisation   de troupes coloniales françaises, en partie composées de Noirs, dans le cadre de   ces armées d'occupation, exacerbèrent le racisme anti-noir en Allemagne. La   propagande raciste allemande dépeignit alors les militaires noirs comme des   violeurs de femmes allemandes et les accusa d'être porteurs de maladies, en   particulier, vénériennes. Les enfants de soldats noirs et de femmes allemandes   furent appelés les « bâtards de Rhénanie ». Les Nazis, qui n'étaient encore   qu'un petit mouvement politique, les considéraient comme une menace pour la   pureté de la race germanique. Dans son livre Mein Kampf (Mon combat), Hitler   accuse les Juifs d'avoir intentionnellement amené les « Nègres » en Rhénanie,   afin de porter atteinte à la race blanche, par un inévitable « abâtardissement   ». Les enfants mulâtres, afro-allemands, furent marginalisés dans la société   allemande. Ils furent socialement et économiquement isolés et il leur fut   interdit de faire des études supérieures. La discrimination raciale leur rendit   impossible l'accès à de nombreux postes, y compris dans l'armée. Avec la montée   du nazisme, ils devinrent une cible de la politique raciale. En 1937 déjà, la   Gestapo (police secrète allemande) avait procédé à des rafles discrètes et   effectué des stérilisations forcées sur certains d'entre eux. D'autres furent   sujets à des expériences médicales, alors que certains disparurent   mystérieusement. La nature raciste du régime de Hitler fut brièvement occultée   pendant les Jeux olympiques de Berlin en août 1936, quand Hitler permit à 18   athlètes noirs de participer à la compétition au sein de l'équipe des   États-Unis. Cependant, l'autorisation de prendre part aux Jeux était accordée   par le Comité international olympique et non pas par le pays hôte. Les Allemands   ayant la peau noire furent aussi victimes de persécutions racistes et raciales.   Aussi bien avant qu'après la Première Guerre mondiale, beaucoup d'Africains se   rendaient en Allemagne : ils étaient étudiants, artisans, artistes de cabarets,   anciens soldats ou petits bureaucrates coloniaux, tels les leveurs d'impôts, qui   avaient travaillé pour le gouvernement colonial. Hilarius (Lari) Gilges, un   danseur professionnel, fut assassiné par les SS en 1933, probablement parce   qu'il était noir. Après la Seconde Guerre mondiale, son épouse, allemande, reçut   une indemnité du gouvernement allemand pour le meurtre de son mari par les   Nazis. Certains Noirs américains, capturés en Europe occupée par l'Allemagne   durant la Seconde Guerre mondiale, furent aussi victimes du régime nazi. Nombre   d'entre eux, comme l'artiste de jazz Valaida Snow – une femme -, furent   emprisonnés dans les camps d'internement de l'Axe pour les nationaux étrangers.   L'artiste Josef Nassy, qui vivait en Belgique, fut arrêté au titre d'ennemi   étranger et détenu pendant sept mois dans le camp de transit de Beverloo, en   Belgique occupée par l'Allemagne. Il fut transféré ultérieurement en Allemagne,   où il passa le reste de la guerre dans le camp d'internement de Laufen et dans   son sous-camp, Tittmoning, en Haute-Bavière. Les Noirs européens et américains   furent aussi pris dans le système concentrationnaire. Lionel Romney, de la   marine marchande américaine, fut emprisonné à Mauthausen. Jean-Marcel Nicolas,   un citoyen haïtien, incarcéré dans le camp de concentration de Buchenwald puis   dans celui de Dora-Mittelbau. Jean Voste, un Belge d'origine africaine, fut   emprisonné dans le camp de concentration de Dachau. Bayume Mohamed Hussein, du   Tanganika (aujourd'hui la Tanzanie) mourut dans le camp de Sachsenhausen, près   de Berlin. Bien des soldats noirs tombés aux mains des Nazis furent incarcérés   illégalement et maltraités, ceci à l'encontre des règles des Conventions de   Genève (Conventions internationales sur la conduite de la guerre et le   traitement des soldats blessés et prisonniers). Le lieutenant Darwin Nichols, un   pilote noir américain, fut incarcéré dans une prison de la Gestapo à Butzbach.   Les soldats noirs des armées américaine, française et britannique furent enrôlés   dans des travaux forcés de construction, parfois jusqu'à ce que mort s'ensuive,   ou moururent de mauvais traitements dans des camps de prisonniers de guerre.   D'autres ne furent même jamais faits prisonniers : ils furent immédiatement tués   par les SS ou la Gestapo. Quelques Noirs des forces armées américaines furent   des libérateurs des camps et ainsi témoins des atrocités nazies. Le bataillon   761 (une unité de blindés entièrement composée de Noirs), rattaché à la 71ème   Division d'Infanterie de la IIIème armée américaine, placée sous le commandement   du général Georges Patton, participa, en mai 1945, à la libération de   Gunskirchen, un sous-camp du camp de concentration de   Mauthausen.
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